L’autre, c’est Marie-Eve, une jeune femme de Sherbrooke qui voyage avec un jeune Neo-Zelandais tout aussi sympa. Je les au déjà croisés à deux reprises cet automne, à Chesapeake City puis à Annapolis. Rappelez-vous. Je l’ai revue, en marchant vers les douanes, avec ses parents qui sont venus lui Si vous me demandez quelles sont les images qui me viennent à l’esprit quand je pense aux Bahamas, je crois que spontanément, c’est ce qui me vient en premier. Bien sûr, il y a la couleur de l’eau, sa limpidité et les plages de sable déserte avec leurs bandes de coraux.
Mais le rayon Vert, je l’ai vu pour la première fois ici à Long Island, il y a 30 ans et depuis, je le cherche chaque soir, partout où je suis en mer.
Ça prends des conditions particulières qui ne sont pas exclusive aux Bahamas. Rappelez-vous l’an passé à Cuba. Mais ici, les chances sont meilleures. Hier soir, en traversant le MacKey Scholls entre Bimini et Nassau, il s’est laissé photographier bien généreusement.
Voyez sur la photo, ce point lumineux à la surface de l’eau, c’était bien ça. Malheureusement, la camera de mon cellulaire n’a pas bien enregistré la couleur, mais croyez-moi, le point lumineux qui vous paraît blanc était bel et bien vert pour une fraction de seconde que dure le phénomène.
Et je n’en était qu’à mon troisième coucher de soleil dans l’archipel. Le prochain, je vous le fait en vidéo- clip.
Pour ce qui est des conchs, c’est le veille que je suis allé marcher dans l’eau peu profonde au milieu du port de Bimini, près d’une petite île pour aller ramasser avec Gilles sur « Mona Lise » qui s’etait proposé pour me donner un cours de rafraîchissement sur la manière de les apprêter. Gilles est une des deux personnes qui m’ont salué par mon nom dans l’heure où je suis arrivé à Bimini il y a quatre jours. Ce qui m’a fait bien sourire en me disant que je retrouvais ma gang en arrivant ici.
L’autre, c’est Marie-Eve, une jeune femme de Sherbrooke qui voyage avec un jeune Neo-Zelandais tout aussi sympa. Je les au déjà croisés à deux reprises cet automne, à Chesapeake City puis à Annapolis. Rappelez-vous. Je l’ai revye, avec ses parents qui sont venus lui rendre visite à Bimini, en marchant vers les douanes, 15 minutes après non arrivée.
Pour en revenir à Gilles, c’est un drôle de numéro qui à 63 ans, à décidé d’oser vivre sa vie sur un bateau. Il est à Bimini pour sa deuxième année et est ancré près de l’atterrissage des hydravions qui amènent les gens riches et célèbres aux super World Resort & Marina de Bimini North.
Gilles n’est pas riche et célèbre, mais il fait comme si. Alors il m’a indiqué où on allait prendre une douche sans frais à la Marina et m’a fait faire le tour du proprio du Resort saluant de la main le préposé à l’entretien, puis un beau bonjour à la femme de ménage du Hilton avant de prendre l’ascenseur pour m’amener à la piscine sur le toit. Elle était fermée ce jours-là mais qu’à cela ne tienne nous nous nous sommes rabattus sur celle du Big Games Resort où j’avais goûté ma première Kalik la veille.
Gilles fait partie du paysage de Bimini. Il est partout chez-lui, partout le bienvenu. Il a l’air tellement à son aise partout où il va qu’on le prends pour un client régulier. Ce qu’il est en définitive, mais en squatter. Et ça vous seuls le savez, les bahamien n’y voient que du feu. Ou plutôt, ils s’en fouent éperdument; il agrémente le paysage de sa présence colorée.
Alors, c’est Gilles qui m’a réappris à sortir la Conch de sa coquille. Et comment l’apprêter soit en salade ou comme je préfère, en « Cracked Conch »; battue, trempée dans une légère pannure et frite dans l’huile.
Un délice typiquement Bahamien que j’ai appris à goûter au Poup Deck de la Marina Yatch Haven de Nassau à ma première arrivée ici avec mon ami Ed de Port Kent sur le Lac Champlain,il y a bien longtemps de cela, me semble-t-il.
Enfin, ce matin, je suis enfin rendu à Nassau ou presque puisque j’ai choisi le sud de l’île de Providence pour mon arrivée. Un ancrage qui m’avait bien plut il y a deux ans avec Jean-Guy, mais que j’ai trouvé plutôt roulant la nuit passée.
Enfin, j’ai trouvé mon quai pour deux semaines derrière la Base Navale des Bahamas à peu près à mi-chemin sur la rive sud, où une série de canaux creusés pour un développement domiciliaire est devenu un refuge pour les bateaux laissés en attente du retour de leur Ça.
Mon hôte est Vivian Lockhart, il est en train de refaire ce bateau auquel je suis amarré.
On se retrouve dans deux semaines.
Pénélope m’attends.😊
Voilà