Deux chroniques dans la même journée. Grâce au pont de Beaufort qui n’ouvrait qu’à 18h. Grâce au préposé aux quais de la marina qui m’a sugéré le quai publique derrière. Grâce au capitaine de « Dùet » qui m’attendait sur le quai pour prendre mes amarres. Tu avais bien raison, Loulou, l’accent grâve sur le « ù », c’est en pour marquer l’accent tonique.
« Mais où sont passées vos équipières? » me lance-t-il tout de go en prenant mes amarres. En effet nous les avons remarqués pour la beauté des lignes de leur bateau et ils ont remarqué que nous faisions de la voile de notre côté. C’est ainsi que des liens se tissent au fil de l’ICW.
D »autre pat, je vous révèle en photo, la clé de l’énigme de la récupération de la drisse en tête de mât. Avec « mon ami » en vedette.
Puis je dois dire que j’en ai profité pour descendre mon drapeau canadien en lambeaux que A-M n’ a pas eu le temps d’aller descendre. Et installer le drapeau du DIKORAMA que Louise-Andrée m’avait gentilment apporté. J’espère qu’il se rendra jusqu’à Norfolk pour être remplacé par celui que Manon mapportera. « Au fait, Manon, c’est quoi, tes convictions politiques par rapport au drapeau canadien, toi? »
Demain en route vers Charleston ou en quelque part par là. Entre temps, je vous envoie ces images de la terrasse de la Maison des dames bénévoles de Beaufort qui sont situées juste en face de la bibliothèque municipale qui a un WI-Fi ouvert jour et nuit. Cliquez sur la photo pour la solution de l’énigme de la drisse.
PS Pour un autre point de vue sur les premiers jours de la croisière aller voir sur http://tintinlemarin.wordpress.com/2012/04/18/jour-1/ la version de Martin.
I love the photos. Soounds like you are making good progress with not too much to worry about. Be safe. Love from the Port Kent « sand patch »
Passionnant de suivre tes pensées et tes exploits!
Lise